↓ Cliquez pour voir la vidéo ↓
peut-être même le convaincre de se faire aider
Mais vous ne savez pas comment faire concrètement pour l’aider à aller mieux :
Quelle attitude adopter ?
Quelles sont les bonnes démarches pour pouvoir l’accompagner, le conseiller, et trouver la juste place à ses côtés ?
C’est une situation qui génère un grand nombre de demandes de consultation.
Parce que vous souffrez sans doute de voir votre conjoint qui ne va pas bien.
Vous vous sentez désemparé.
Vous avez peut-être l’impression de le perdre, ne sachant pas bien quoi faire pour l’aider et l’accompagner dans cette épreuve.
C’est pour cela que je vous propose ce module, composé d’un certain nombre d’outils pour vous accompagner dans cette démarche. Je veux vous donner des conseils, des idées pour savoir comment faire, comment vous positionner en tant que conjoint.
Je veux aussi vous rassurer dans votre rôle d’aidant, vous aider à vous préserver, et ne pas avoir peur dans certains cas à prendre des décisions importantes.
Parfois, certaines personnes n’osent rien dire.
Elles ont peur que leur inquiétude provoque encore plus d’inquiétudes.
Là où en réalité, c’est vraiment important que vous puissiez en parler.
Mais comment parler de cette inquiétude à votre conjoint ?
Comment donner à mon conjoint la conscience que là, il y a un mal-être ?
« Peut-être que tu ne veux pas le reconnaître, mais voilà ce que je vois, et les conséquences que cela a sur moi. »
Il faut faire très attention. Parce que parfois, on peut penser et se dire que tout le monde voit que votre conjoint ne va pas bien.
Et cela peut générer chez votre conjoint une forme de résistance.
Il risque de répondre par la négative, qu’il va bien, que c’est juste un coup de mou et que tout le monde a un coup de mou.
Et il y a alors une forme de banalisation du mal-être.
Il faut donc que vous arriviez à lui montrer qu’il ne faut pas banaliser ce mal-être.
Parce que vous voyez bien que, contrairement à ces hauts et ces bas que vous avez pu vivre dans votre relation, là on est dans un bas qui vous dépasse.
Et qui fait que vous ne reconnaissez plus votre conjoint.
Vous allez donc devoir employer certains mots, adopter certaines attitudes et utiliser certains outils pour pouvoir manifester ce regard que vous avez sur votre conjoint, sans être intrusif.
Parce que le pire dans le couple, c’est le sentiment d’intrusion, et le sentiment d’infantilisation.
Ce point est vraiment très important
En tant que conjoint, vous n’avez pas le même pouvoir qu’un ami, qu’une personne extérieure. Votre aide va donc être assez limité.
Et à un moment donné, et cela arrive souvent, il faut manifester aussi votre impuissance.
Je me souviens d’une discussion avec une personne qui s’occupait des sans-abri. Souvent, quand nous voyons un sans-abri dans la rue, nous avons tendance à penser intérieurement que plutôt que de faire la manche, et donc être dépendant de la société, dépendant des autres pour pouvoir vivre, il serait préférable qu’on lui apprenne à travailler.
Cette idée que plutôt que de donner à quelqu’un un poisson, on va plutôt lui apprendre à pêcher.
En réalité, parmi les sans-abri, il y en a un certain nombre qui sont incapables de tenir une canne à pêche. Ce n’est pas qu’ils n’ont pas la volonté, ce n’est pas qu’ils ne veulent pas : ils n’en sont pas capables.
Si je vous donne cette image-là, c’est que le parallèle est intéressant.
Souvent, quand le conjoint a un mal-être suffisamment fort au point de vous inquiéter, de vous dire que là ça vous dépasse, c’est que derrière il y a une cause profonde à ne pas négliger. Il y a peut-être une pathologie que l’on découvre, une dépression qui arrive, ou une crise explosive type crise de milieu de vie (qui génère les mêmes mécanismes que la dépression).
Et quand on n’est pas professionnel, c’est très compliqué de faire face à ces situations.
Vous allez analyser la situation avec votre regard, d’une personne qui va bien.
Vous allez imaginer des solutions très concrètes qui vont faire appel à la volonté, parfois la morale…
Sauf qu’en face, vous avez un conjoint qui lui n’a plus ces ressources.
Son esprit ne pense plus comme il pensait auparavant.
Camille, la découverte de votre site est une vraie révélation pour ma part, je devais faire un travail urgent, c’est en cours!
Cela me permets de prendre conscience, et donc réussir à faire durer sa relation. Un grand merci à vous pour la qualité de votre travail et pour votre bienveillance!
Dans cet accompagnement en 6 modules audio, je vous ai regroupé tout ce que je peux dire en consultation aux personnes dont le conjoint va mal. J’évoquerai avec vous :
J’ai reçu récemment une patiente en dépression qui me disait : « Les gens me disent, tu devrais faire ci, ça te ferait du bien. Sauf que moi, j’ai juste envie d’être au lit. J’ai juste envie de dormir, c’est que comme ça que j’arrête de souffrir. Là, je n’ai aucune vision sur l’avenir ».
Et la seule chose que je lui ai dite, c’est de faire le maximum pour arrêter de penser. Parce qu’aujourd’hui, ses pensées ne peuvent plus fonctionner normalement. Elles ne sont pas là pour l’aider, elles sont là pour l’inquiéter. Il y a un filtre négatif qui fait que toutes les pensées vont faire appel à ses inquiétudes, vont faire appel à ses angoisses.
C’est comme quand vous vous réveillez en plein milieu de la nuit. Il est très rare que l’on ait des pensées très positives. En général, on rumine. On ne va pas bien. Parce que le cerveau revoit toutes les informations de façon embrouillée. Et on a besoin de sommeil pour pouvoir repenser normalement.
Quand on est dans la dépression, c’est comme si l’on était sans cesse réveillé en pleine nuit, et qu’on vous demandait de réfléchir normalement, d’avoir la volonté de vous lever.
Quand je suis épuisée, je ne peux pas me lever. Si vous avez déjà eu des enfants qui ne dorment pas la nuit, et que vous êtes réveillé en pleine nuit pour un enfant qui ne va pas bien, vous avez juste envie que ça s’arrête. Alors qu’en pleine journée, vous allez appeler le médecin. Vous allez trouver des solutions. Vous avez plus de patience. Mais en pleine nuit, c’est très dur.
La dépression, ce sont à peu près la même chose (Attention : je dis pas que tous les conjoints qui ne vont pas bien sont en dépression, mais cela peut faire appel au même mécanisme)
Là où vous lui dites : ce serait bien que tu fasses ça, en fait votre conjoint lui est incapable de penser.
Je vais donc vous donner des outils pour savoir quel est l’aide que vous pouvez apporter à votre conjoint, mais dans une juste mesure.
Une aide qui n’est pas intrusive.
Être capable de dire stop.
De dire : « tu attends de moi trop de choses, et je vais m’épuiser si on continue comme ça »
Dans ce cas, il va falloir manifester votre impuissance, sans être dans du rejet, sans être dans de l’abandon. Et c’est ce qui vous fait parfois peur.
Il s’agit en fait de manifester son impuissance, tout en étant toujours là.
En tant que psychologue, il y a beaucoup de situations qui nous dépassent.
Il y a aussi beaucoup de situations, de pathologies, qui font que l’on est parfois plusieurs professionnels à aider une même personne.
Mais en réalité, nous sommes souvent dépassés, et là il est très important aussi de manifester notre impuissance.
Non pas pour désespérer notre patient.
Ce ne serait vraiment pas l’objectif.
Mais c’est au contraire de dire : « Accrochez-vous ! Je comprends que ce soit très difficile pour vous puisque nous-mêmes, nous sommes dépassés. Je comprends encore plus qu’avec tout ce que vous vivez, vous soyez dépassés »
En tant que conjoint, osez manifester l’impuissance.
Vous verrez dans ce module d’accompagnement que je vous donne des conseils pour le dire d’une façon constructive. Non pas pour dire : « je suis impuissante, je n’en peux plus, tu te débrouilles tout seul ». Là, je ne suis pas sûr que ce soit bien reçu…
Mais dites plutôt : « j’aimerais tellement pouvoir t’aider, j’aimerais tellement pouvoir te comprendre, mais là je me sens impuissant. Je n’y arrive plus, et j’ai l’impression que je vais m’enfoncer si je continue à vouloir t’aider. »
L’impuissance, c’est là pour justement remettre les choses à plat, se remettre sur un même pied d’égalité. Et souvent ça fait beaucoup de bien, de dire : « je comprends que tu ne sois pas bien, parce que moi aussi là je ne comprends pas ce que tu as. Ca me dépasse. »
C’est à ce moment-là que vous pourrez éventuellement faire appel à un tiers. Ou vous remettre en marche, main dans la main, pour trouver une solution à deux. Là où parfois, on se sent très isolé l’un l’autre, quand bien même on est en couple face à ce mal-être.
Grâce à cet accompagnement, pas besoin de vous déplacer ! Vous faites le travail de chez vous, quand vous le souhaitez et surtout à votre rythme. Pas besoin non plus de pousser la porte d’un cabinet pour vous accompagner. Vous réalisez le travail par vous même, ou en couple, sans l’intervention d’une personne extérieure.
J’aime beaucoup ce concept d’accompagnement en ligne parce que c’est moins formel. Je ne voulais pas “aller voir quelqu’un”. Là c’est plus simple et plus anonyme aussi.
Pascal (*)
Vous allez avoir accès à une série d’enregistrements audio avec des exercices à réaliser.
Vous pourrez les écouter en ligne ou les télécharger sur votre ordinateur ou votre téléphone, pour les emmener avec vous. Vous pourrez ainsi les écouter librement dans les transports, dans votre voiture, là où vous voulez.
Attention : Pour que cet accompagnement soit efficace, il faudra être actif. Ecouter ne suffit pas, et je vous demanderai à certains moments de mettre l’enregistrement en pause pour passer à l’action. Vous aurez des petits temps de pause à respecter pour réaliser ce travail.
Vous aurez des exemples et des exercices très concrets.
Alors attention ce n’est pas une solution miracle, qui d’un seul coup de baguette magique va régler tous vos problèmes.
Ce sont des enregistrements dans lesquels je vous accompagne, je vous aide à vous mettre en marche. Je vous donne des repères qui vont vous aider dans votre vie de tous les jours.
Tous ces témoignages sont extraits des résultats d’un questionnaire de satisfaction envoyé aux personnes ayant suivi un des accompagnements proposés sur le site. (Ces résultats spécifiques ne sont pas une garantie de résultat, ces derniers dépendant de chaque situation de couple. Les résultats obtenus dépendent aussi évidemment de votre investissement, et ce que je vous propose est tout sauf une méthode miracle)
Je trouve que ce genre de programme c’est vraiment pratique quand on ne veut pas se déplacer en cabinet et avoir des conseils et une aide malgré tout.
J’ai trouvé le sujet “devenez maître de vos émotions” très enrichissant, ça m’a permis d’identifier les messages venant du plus profond de moi et de savoir les écouter pour pouvoir au mieux les gérer, et je suis content du résultat que ça m’a apporté.
On sent que votre métier vous passionne et que vous êtes pleine de compassion et de bienveillance. Vos accompagnements sont de très bonnes qualité et m’ont permis d’avancer. Merci encore
Une vrai déclic, qui m’a permis de faire un pas de géant. Je re-ecoute très régulièrement les audio (très pratique car cela peut se faire partout) qui sont à la fois très simples à comprendre, et apportent de vraies réponses avec des exercices pratiques.
Je suis conquis !
Encore mille mercis, car cela m’a permis de vraiment accélérer dans mon développement personnel.
Je suis ravie d’avoir pris cet accompagnement.
Je trouve les podcasts clairs et les exercices permettent de se rebooster lorsqu’ils sont faits avec rigueur.
Je n’ai pas fini l’accompagnement mais j’ai envie d’appliquer les exercices donnés au quotidien pour changer et devenir responsable de mon bien-être
L’accompagnement en podcast est très bien structuré, très clair. Les exemples sont pertinents, les exercices permettent d’avancer dans sa réflexion et les outils sont faciles à retenir et efficaces. Bravo et merci !
Trés clair et facile à comprendre, permet de se sentir mieux au quotidien.
(*) Par soucis de confidentialité, les prénoms ont été changés
Comment faire appel à un proche, quand bien même mon conjoint ne veut pas du tout ?
A quel moment il faut quand même que vous puissiez faire appel à un proche ?
Souvent, le conjoint ne veut pas qu’on en parle, il veut que cela reste entre vous.
Il trouve l’idée humiliante.
Pourtant, quand bien même le conjoint ne veut pas, vous avez peut-être réellement besoin d’en parler.
On verra dans ce module à qui en parler.
Comment en parler.
Et comment s’ajuster entre ce que le conjoint veut, et ce que moi je veux.
Parfois, c’est l’inverse : votre conjoint voudrait en parler à tout le monde, et vous, vous ne souhaitez pas que tout le monde commence à être au courant, que tout le monde vous donne son avis.
Encore une fois, il va falloir trouver un juste milieu entre ces deux injonctions parfois paradoxales, qui ne sont pas communes. Et pour autant, il va falloir parfois que le besoin individuel prime sur le besoin commun.
Je fais bien la différence entre accompagner, ou porter, et supporter.
Ce n’est pas du tout la même chose.
Nous verrons enfin comment faire en sorte que vous puissiez être aux côtés de votre conjoint, sans le porter. Parce que souvent, c’est lourd. On est vraiment dans une situation où porter l’autre, c’est trop lourd.
Vous ne pouvez pas vous porter vous-même et porter l’autre.
Ça devient trop compliqué.
Il faut savoir que souvent les aidants s’épuisent avant la personne qui est aidée.
Dans les maisons de retraite, on dit souvent que le turnover chez les aides-soignantes, les infirmiers, est dû au fait que c’est épuisant de s’occuper de personnes qui sont malades, qui ne vont pas bien, qui sont dépendantes.
Il faut donc être sûr d’avoir suffisamment de ressources pour pouvoir s’en occuper. Et vous vous dites peut-être, oui, mais c’est mon conjoint : mais attention jusqu’à une certaine limite
C’est toujours ce que les pompiers vont vous dire : avant d’aller sauver une personne qui est en train de se noyer, réfléchissez si vous n’allez pas vous noyer aussi. Parce que sinon, les pompiers arrivent, et ils ont deux personnes à sauver au lieu d’une. Une, ils auraient pu la sauver, deux ce n’est plus possible.
Pour vous c’est pareil. Il faut vraiment avoir ce recul.
Je vais vous donner les repères essentiels à avoir pour savoir comment accompagner votre conjoint sans vous effondrer. L’idée de cet accompagnement, c’est de vous donner les outils nécessaires pour pouvoir vous ajuster dans toute cette démarche où votre conjoint a besoin d’être aidé.
Tout en sachant parfois distinguer les moments où vous pouvez donner gratuitement sans que ça se retourne contre vous.
Nous allons voir ensemble comment faire cette distinction entre les deux. Je vais vous accompagner dans toutes ces étapes, pour vous aider à vous ajuster le mieux possible.
Je vais vous donner des outils concrets pour avancer pas à pas, pour pouvoir vous positionner par rapport à votre situation personnelle.
Tous ces outils-là sont dans ce module d’accompagnement qui est beaucoup plus exhaustif.
Je m’appelle Camille Rochet, Je suis psychologue et thérapeute de couple, diplômée de l’école des Psychologues Praticiens de Paris, et enregistrée au répertoire Adeli sous le n° 78 93 15 9. (Liste officielle des professionnels autorisés à porter le titre de psychologue), membre de la Société Française de Thérapie Familiale.
J’ai déjà aidé plusieurs milliers de couples et de personnes, en consultation ou au travers de mon site Internet.
Je suis l’auteure du livre “Ma boîte à outils pour être un couple épanoui” chez Dunod, et j’interviens régulièrement dans les médias.